22-FEUX......
Son humanité de passion Brûle de feux mal éteints Ils flambent de nouveau Au vent du nord, Violent, Glacé. Et étrangement la ranime O.
Poésies personnelles
Son humanité de passion Brûle de feux mal éteints Ils flambent de nouveau Au vent du nord, Violent, Glacé. Et étrangement la ranime O.
Vertige du coeur Tourbillons de douceurs.. Partagées dans l'absence Espère des retours Vertiges de l'oubli O;
Je clorais tes paupières Sur ton regard d'enfance Aux couleurs d'aube claire Et d'amande mêlées O.
Cherche la belle Farouche, En ses yeux Insoumis Braises d’amour appelle là, elle est loin elle est proche elle attise la flamme du foyer parfumé en son jardin secret fleurit le pavot porteur d’éternité amante de rêve elle ouvrira ses lèvres O j.beaudroitCopyright...
Belle de mes nuits Aventureuses Je vais dans ton sillage En recherche d’exister À ton lever mordorant À ton couchant apaisé D’un peu de lumière En recherche apaisée Corps épanoui D’amour endolori De tendresse ébloui En recherche d’aimer O.
Amour rieur, Amour paresse Amour vagabond Amour joli, Rose de caresses Frileux d’attentes Caché d’espoir Offert encore Oublié au jardin D’amours contrariées D’amours malheureuses En sa cage fragile O.
adonis vernalis Las ! Bel Adonis, Se meurt Aphrodite le pleure Tant Les perles de ses larmes s’épandent autant Que sang D’or Comme ses cheveux Fragile Comme un enfant Chaque an Renait la fleur De son chagrin D'antan L'adonis "Soleil du Printemps" O.
Les âmes oublieuses s'enfuient échouent sur la plage désertée s'enlisent et se noient les âmes perdues d’exister s'apaisent et vagabondent nébulées de mélancolie. Les âmes mortes s’égarent Si loin d’être encore Si proches d’être aimées O.
S’il le fallait j’atteindrais le soleil S’il le fallait je viderais la mer S’il le fallait je franchirais les montagnes S’il le fallait j’arrêterais le temps Pour retrouver une voix, un rire. O.
Pourquoi l'absence ? Qu'est-ce que l'absence ? Est-elle encore présence Ténue mais obstinée N'est-elle que vide sombre Ou rocailleux chaos ? Paysages vides et silencieux, Visage toujours répété voilé par les plis d'un monde blanc Comme drapé d'étoffes...